Les Critiques NEGATIVES de vos Disney préférés !

Citation :

DisneyWorld : Je suis curieuse de savoir quelles chansons sont de trop dans Pocahontas selon toi ^^ ?

Elles sont toutes magnifiques mais je trouve simplement que 7-8 chansons (sans compter les reprises ) ça fait un peu lourd, en plus elles s'enchaînent un peu vite: par exemple juste après la reprise de "Au son calme des tams-tams", Pocahontas chante " Au détour de la rivière".

Par ailleurs je trouve que 2 chansons interprétée seulement par le perso principal, ça fait un peu trop; même si elles sont très belles.

Il ne faut pas oublier qu'il y a plusieurs types de chansons dont l'un sert à faire avancer l'histoire.
Par exemple : Dans Blanche-Neige, les nains chantent en rentrant du travail.
Dans Pinocchio, Grand Coquin et Pinocchio chantent en allant au théâtre.
Dans Dumbo, les employés du cirque chantent en dressant le chapiteau.
Une autre catégorie, où les chansons servent souvent à exprimer le sentiment du personnage (ex : Partir-là-bas) mais d'autres sont purement folkloriques (Ex : La Tyrolienne des Nains).

D'accord, en fait tu leur reproches d'être trop rapprochées ? Je comprends alors !
Pour le deuxième opus, je ne dirais rien vu que je ne supporte pas ce film donc ^^'

Une belle trouvé pour Rebelle ( aucun film n'est épargné, aussi bon soit-il ) :

Citation :

Fx digne des plus mauvais studio de la planète, personnages laids, pas de scénario et film trop bavard. Un remake raté de shrek qui agace tout le monde même les plus jeunes. Faites la taire!

Je vois pas le rapport avec Shrek...

Suite à l'analyse lue sur chroniquedisney.fr disant que ce film avait été descendu par les critiques, j'ai décidé de lire les critiques d'Allociné à propos de Pocahontas:

Citation :

Pocahontas est le premier dessin animé de Walt Disney a avoir de très mauvais dessin. Le scénario est tout a fait convenu et il manque vraiment d'humour. Pourtant il y a quelques chansons agréables (Au détour de la rivière) et d'autres chansons très mauvaises (L'air du vent).

Citation :

On a du mal à croire qu'il s'agit d'un disney: les dessins sont plutôt moches, l'histoire sans grand intérêt; il n'y a aucune magie.

Citation :

Pocahontas est une lamentable erreur des Studios Disney (il en faut bien parfois). Très peu esthétique et plutôt ennuyeux, ce dessin animé aura du mal à trouver sa place parmi la grande collection de l'ami Walt.

Citation :

Un des pires Disney que j'ai jamais vu! L'envie de défoncer Pocahontas était tellement violente que j'ai du me concentrer pour pas casser ma télévision! Mais il parait que ce film transmet un message de tolérance... Mouais, je ne suis pas convaincue. Deux étoiles pour le petit raton laveur et les jolis dessins.

Citation :

Un film quelconque qui n'apporte rien de nouveau !

Citation :

Beaucoup moins féérique, drole,doublé, mise en scène et compositions très moyennes. On dirait un disney fait à la va vite. Pas génial.

C'est assez drôle, parce que beaucoup jugent les dessins moches et d'autres disent que c'est la seule chose du film qui se vaut.

Mais j'arrive pas à comprendre la pluspart de ces critiques. Dejà, j'adore les decors et les couleurs utilisées (les nuances de bleu et rose, j'aime particulièrement), je trouve que les musiques apportent énormément d'intensité (Merci Alan!) et que l'histoire est plutôt pas mal ficelée.
De plus, pour ceux qui sont à fond pour le respect de la réalité historique, je leur souhaite de bien s'étrangler avec le second.

Sans vouloir être l'avocat du Diable, c'est vrai pour Pocahontas, par moment les décors font vraiment "décors en carton"(essentiellement les forêts). Mais bon de là à être aussi extrême, il y a peut être exagération.

Pour les graphismes, c'est comme pour Hercule: Les goûts et les couleurs

Je n'apprécie guère les gens qui se permettent de critiquer comme ça le fruit du travail de plusieurs années de production, de recherche ...

Après y en a toujours qui aiment chercher la ptite bête

Pocahontas c'est un dessin-animé, bon sang ! Ils allaient pas raconter comment Pocahontas est morte en Angleterre, que John avait 40 ans et elle 12

Dingoofy a écrit:

Sans vouloir être l'avocat du Diable, c'est vrai pour Pocahontas, par moment les décors font vraiment "décors en carton"(essentiellement les forêts). Mais bon de là à être aussi extrême, il y a peut être exagération.

C'est assez marrant, moi je trouve les décors magnifiques, et toi tu trouves qu'ils font "décor en carton"...comme quoi, on ne pourras jamais mettre personne d'accord sur le sujet.

En fait, je trouve que Pocahontas représente assez bien le style de l'âge d'or Disney avec ses camarades La Belle et la Bête, Aladdin, Le roi lion, la petite sirène, Mulan, Le bossu de Nptre-Dame...(pardonnez si j'en oublie). Question design et couleurs, je trouve qu'il y a quelque chose de différent des précédents, de plus fort, je trouve que ça accroche mieux l'oeil. Vous voyez ce que je veux dire?

C'est pour ça que je m'étrangle à moitié quand quelqu'un a le malheur de dire "Les dessins de Pocahontas sont nuls". (je cite Pocahontas, mais il en va de même avec tous les DA Disney des années 90, et aussi de La princesse et la grenouille.)

Pour les musiques, je comprend pas qu'on puisse les qualifier de "cucu la praline". Ils ont jamais écouté "Ecoutes ton coeur", "Des sauvages" et l'instrumental de fin, celui qui me fais toujours pleurer comme une madeleine.

Pour la véritable histoire, ils ont qu'à chercher le film de Malick "Le nouveau monde", ils feront de beaux rêves!
ça se rapproche plus de la réalité, mais c'est d'une lenteur...je faisait autre chose en le regardant tant j'étais peu emballée...Jusqu'à l'arrivée de Christian Bale, bien sûr (marrant, il joue John Rolfe alors que dans le DA il double Thomas.)

Glywen a écrit:

Pour les musiques, je comprend pas qu'on puisse les qualifier de "cucu la praline". Ils ont jamais écouté "Ecoutes ton coeur", "Des sauvages" et l'instrumental de fin, celui qui me fais toujours pleurer comme une madeleine.

De toute façon, pour certains dès qu'il y a des sentiments exprimés dans une chanson, elle est "cucul la praline"

Disneyworld, je suis d'accord quand un film avec des sentiments tout le monde trouve ça pathétique ....

Pourtant y a une différence entre exprimer des sentiments purs et exagérer sur l'univers rose bonbon...

Dans l'Air du vent et Des Sauvages, je vois vraiment pas en quoi c'est cucu

Bon OK Un jour mon prince viendra ça l'est mais cette chanson est si jolie...

Glywen a écrit:

Dingoofy a écrit:

Sans vouloir être l'avocat du Diable, c'est vrai pour Pocahontas, par moment les décors font vraiment "décors en carton"(essentiellement les forêts). Mais bon de là à être aussi extrême, il y a peut être exagération.

C'est assez marrant, moi je trouve les décors magnifiques, et toi tu trouves qu'ils font "décor en carton"...comme quoi, on ne pourras jamais mettre personne d'accord sur le sujet.

En fait, je trouve que Pocahontas représente assez bien le style de l'âge d'or Disney avec ses camarades La Belle et la Bête, Aladdin, Le roi lion, la petite sirène, Mulan, Le bossu de Nptre-Dame...(pardonnez si j'en oublie). Question design et couleurs, je trouve qu'il y a quelque chose de différent des précédents, de plus fort, je trouve que ça accroche mieux l'oeil. Vous voyez ce que je veux dire?

C'est pour ça que je m'étrangle à moitié quand quelqu'un a le malheur de dire "Les dessins de Pocahontas sont nuls". (je cite Pocahontas, mais il en va de même avec tous les DA Disney des années 90, et aussi de La princesse et la grenouille.)

Pour les musiques, je comprend pas qu'on puisse les qualifier de "cucu la praline". Ils ont jamais écouté "Ecoutes ton coeur", "Des sauvages" et l'instrumental de fin, celui qui me fais toujours pleurer comme une madeleine.

Pour la véritable histoire, ils ont qu'à chercher le film de Malick "Le nouveau monde", ils feront de beaux rêves!
ça se rapproche plus de la réalité, mais c'est d'une lenteur...je faisait autre chose en le regardant tant j'étais peu emballée...Jusqu'à l'arrivée de Christian Bale, bien sûr (marrant, il joue John Rolfe alors que dans le DA il double Thomas.)

Je suis complétement d'accord ! Et je trouve également les décors et les graphismes de ce DA sublimes ! Je l'adore, et je le trouve vraiment esthétiquement et visuellement beau. Les chansons sont toutes aussi magnifiques, je ne comprendrai jamais de telles critiques. Et l'histoire est quand même belle, romantique et parfois même un peu violente...

Disneyworld a écrit:

Glywen a écrit:

Pour les musiques, je comprend pas qu'on puisse les qualifier de "cucu la praline". Ils ont jamais écouté "Ecoutes ton coeur", "Des sauvages" et l'instrumental de fin, celui qui me fais toujours pleurer comme une madeleine.

De toute façon, pour certains dès qu'il y a des sentiments exprimés dans une chanson, elle est "cucul la praline"

+1

Bref voici d'autres critiques sur Rebelle :

Citation :

L'histoire est nulle autant que les personnages. C'est un film pour les tout petits exclusivement. Vivement un prochain Toy Story ou pas!

Les "tout petits" présents dans la salle ont pleuré de peur.
Je pense personnellement que ce film est tout de même moins édulcoré que Raiponce et les autres films de princesses ( même si je les adore ! )....

Citation :

La moissonneuse-batteuse Disney est là, le film a été conçu en amont pour vendre des produits dérivés et non marquer le public. Ici, une variant bien symbolique des éternelles histoires où une ado "rebelle" se fâche avec ses parents parfaits et gentils, met tout le monde dans le pétrin avant que l'ado ne répare ses torts et sauve sa famille, tout en se rabibochant avec chacun de ses membres... Ici, c'est au moyen-âge, en Écosse.
Les films Pixar se suivent et se ressemblent, finissant par se copier mutuellement, tuant toute forme d'originalité. Même sur le plan technique le film semble moins réussit que ses prédécesseurs... C'est niais, rempli de bons sentiments, de belles princesses, de braves types au bon fond, le tout se finissant toujours bien. Tout à fait le genre de film à des milliers d'années-lumières d'un Nausicaä ou d'un Princesse Mononoké. Il faudrait vraiment que les Américains arrêtent avec le scénario simpliste digne d'un court-métrage de 25 minutes et se mettent à mettre du contenu dans leur film, des réflexions importantes, des personnages ni noir ni blanc.

1)Sur le plan technique, moins réussit ?!
2)Comment peut on comparer les studios Ghibli et Disney-Pixar ???? Ils ne visent pas le même public....

Vous aurez comprit le type qui a écrit ça considère Miazaki comme son idole

Citation :

Abhérent de nullité, de cliché, de bons sentiments, une histoire linéaire prévisible du début à la fin, des chansons écrite par et pour des enfant de 4 ans sur un fond de 4 accords de guitarres, une niaiserie et et une manière manichéenne de mettre en scène une histoire bannale et infantilisante tout simplement ridicule.

J'ai l'impression que certains mélangent tout : c'est pas parce qu'ils ont pas aimé que c'est pour les enfants...
Je trouve ce film quand même un peu sombre pour "un jeune enfant" qui préférera sans doute un Raiponce coloré...
Et puis pour la énième fois : SI ON N'AIME PAS LES BONS SENTIMENTS ON REGARDE PAS UN DISNEY-PIXAR !

Y en a à qui j'aimerai pouvoir leur répondre...

D'accord avec toi, Disneyworld, comparé les studios Pixar et Ghibli c'est juste impossible, ce n'est pas du tout le même monde . . .

Excusez moi, je ne sais pas si ça correspond à des critiques mais regarder cet article que j'ai trouvé sr internet !

Ça ma choqué !!

1. La zoophilie
   : l’un des premiers Disney analysés fut la belle et la bête, qui
   présente de manière flagrante des rapports zoophiles entre Belle et le
   prince déchut. Cette chère demoiselle ne prend pas la place de son père,
   retenu prisonnier, par amour (où y serait son intérêt ? Il est vieux et
   arrive au terme de sa vie) mais bien par attirance irrésistible et une
   envie d’assouvir ses fantasmes envers les animaux. Leur relation est au
   début houleuse et difficile suite au caractère de le Bête qui, avouons
   le, est merdique. Mais à force de vivre ensemble, tout deux finissent
   par y trouver leur compte. La mort de Gaston et la transformation de la
   Bête n’est qu’une métaphore indiquant que Belle projette l’image de
   l’homme vers l’animal pour assumer ses pulsions.
   
2. Le complexe d’Œdipe
   : celui-ci est présent dans le roi lion. Rappelons brièvement
   l’histoire originale du complexe d’Oedipe : il vient de la mythologie
   grecque lorsque, suite à une prédiction d’Apollon disant qu’il serait
   tué par son propre fils et que celui-ci épouserait après sa femme, Laïos
   ordonne de faire abandonner son enfant Œdipe pour en empêcher la
   réalisation. Mais bien évidemment elle se produit. La trame du roi lion
   suit cette légende mot pour mot. Simba, même si c’est involontaire, tue
   son père (inutile de le nier, c’est sa faute à ce petit con !) avant
   d’émigrer durant une dizaine d’année dans le désert pour finalement
   revenir, prendre la place du défunt Mufassa et épouser Nalla qui est le
   clone de sa mère dans sa jeunesse. Quoiqu’il en soit, cette histoire est
   une des plus malsaines de Disney.
   
3. La paresse :
   la morale adoptée à la fin d’Aladdin est pour le moins interpellante.
   Un jeune homme pauvre, vivant de larcins en se moquant des vertus de la
   loi pourrait tout de même arriver en haut de l’échelle sociale en
   devenant prince ? C’est malheureusement la conclusion que nous avons
   retenue en voyant ce dessin animé. « Peut importe ce que tu fais
   dans ta jeunesse fils, tu tomberas un jour sur une lampe magique d’où
   sortira un génie bleu avec un humour aussi lourd que celui de Dubosc. Il
   t’exaucera trois souhaits et tu deviendras riche et puissant ».
   Remplacez la lampe par un ticket d’euromillion, vous verrez alors que la
   montée du chômage n’est peut être pas que due à la crise des subprimes.
   
4. La schizophrénie
   : thème abordé dans plusieurs Disneys mais l’exemple le plus frappant
   est dans Cendrillon. Allons, un peu de sérieux je vous prie. Une jeune
   fille pauvre et asociale parlant aux animaux finit par trouver le grand
   amour en épousant le Prince charmant grâce à sa marraine la bonne fée
   qui change une citrouille en carrosse et des oripeaux en une robe de la
   dernière collection de Chanel ? Cette demoiselle est méchamment névrosée
   voir atteinte d’une profonde psychose. Ce qui est compréhensible. Après
   avoir passé des années à se faire martyriser par sa belle-famille et à
   vivre seule dans sa tour, elle s’est créée un monde imaginaire dans
   lequel elle se réfugie dans les moments les plus pénibles et où la vie
   lui est plus facile à supporter. Le patient dont tout psychiatre rêve.
   
5. L’homosexualité
   : élément pour le moins interpellant que l’on retrouve dans le dessin
   animé Rox et Rouky. Ce n’est peut être pas le Disney le plus idolâtré,
   mais quoiqu’il en soit, la relation entre le chien Rouky et le renard
   Rox semble aller bien au-delà de l’amitié. Pourquoi donc deux amis se
   verraient-ils en cachette ? Nous avons tout d’abord pensé que c’était un
   symbole de la difficulté que pouvaient avoir les noirs et les blancs à
   vivre en parfaite harmonie. Mais le film est sorti en 1981, pile l’année
   où le SIDA fut découvert aux Etats-Unis et qui à l’époque, était
   considéré comme l’arme divine purificatrice du peuple gay (d’après les
   américains). De ce point de vue, nous comprenons mieux le message du
   film. En pleine époque de persécution des homosexuels, le renard et le
   chien se devaient de cacher leur relation pour en jouir pleinement, en
   faisant des roulés-boulés dans les champs ou en jouant à cache-cache. Le
   message est subtil mais très clair.
   
6. La dictature
   : non, ce n’est pas dans Robin des bois que nous avons étudié ce thème,
   bien qu’il y soit présenté de manière très édulcorée mais dans les
   Aristochats. Ce film est une véritable ode au système dictatorial. En
   effet, à pratiquement chacune de leurs apparitions, nous pouvons
   entendre le chien Napoléon donner des ordres à son sous-fifre Lafayette.
   Lorsque celui-ci lui demande, en toute légitimité, pourquoi est ce lui
   qui décide, Napoléon lui répond « Parce que c’est moi le chef, voilà
   pourquoi ! » n’avançant aucun autre argument et d’une manière digne d’un
   Franco. Notons également que ce dessin animé est sorti en 1970, on y
   dénote des références à l’émancipation de la femme. Par exemple la
   chatte Marie dit, je cite : « les femmes ne commencent jamais les
   disputes mais elles savent les finir ! » d’un ton hautain et dédaigneux.
   Peut-être pas la meilleure solution pour arriver à la fameuse égalité
   tant revendiquée.
   
7. L’alcoolisme : on aurait
   également pu prendre la consommation de stupéfiants dans Alice au pays
   des merveilles mais on passe trop souvent sous silence la consommation
   d’alcool flagrante dont fait preuve Dumbo dans le film homonyme. Suite à
   la perte de sa mère et ses difficultés d’intégration dans le
   merveilleux monde du cirque, notre cher éléphanteau ne trouve d’autres
   solutions que de noyer sa peine et son chagrin dans l’alcool et subir un
   Délirium Tremens des plus troublants pour un jeune spectateur.
   
8. La misanthropie
   : quel film autre que le bossu de notre dame pouvait mieux illustrer ce
   problème ? Tout d’abord, soyons compréhensifs. Alors que certains
   naissent avec une classe naturelle (ne faisons toutefois pas d’amalgames
   entre la coquetterie et la classe), Dame nature n’a pas gâté Quasimodo,
   il est moche et bossu. De plus sa mère est morte dans un accident et
   son tuteur est un juge assez froid. Cela n’a pas aidé à sa construction
   psychologique. Néanmoins, n’ayant fait aucun effort tout au long de sa
   vie, notre homme a développé une rancœur féroce et haineuse envers la
   population humaine. Toutes ses tentatives d’intégration se sont soldées
   par de cuisants échecs. A chacun de ses revers, il se renferma dans sa
   tour, seul, en ruminant sa frustration de plus belle. L’apogée de cette
   relation se trouve à la fin du film, lorsque Quasimodo agresse la
   population de Paris en leur jetant des blocs de pierre et du métal en
   fusion.
   
9. La cruauté envers les animaux : il est
   incompréhensible que Greenpeace ou WWF n’ait encore jamais réagi devant
   les affreux actes commis par Pinocchio accompagné de son « papa » dans
   le classique portant le même nom. Tout d’abord, la baleine Monstro est
   représentée comme un cétacé agressif et attaquant de manière délibérée
   les autres animaux. Les critiques ont dénoncé des actes semblables à Mr
   Spielberg pour son film les dents de la mer, je ne vois pas pourquoi
   Pinocchio échapperait au même sort car c’est un Disney. De plus, voulant
   à tout prix sortir, ils allument de façon cruelle et sadique un feu à
   l’intérieur même de la pauvre baleine sans défense. D’autres
   possibilités étaient à envisager pour sortir du ventre de cet animal
   sans le blesser (comme dans Némo pas exemple).
   
10. La pédophilie
    : nous avons hésité à énoncer ce point-ci tant la triste vérité que
    nous avons découverte ébranlera les générations s’étant émerveillées
    devant ce classique des classiques. Malheureusement oui, même si c’est
    habilement caché dans le film, Bambi a été abusé sexuellement durant une
    grande partie de son enfance. Lisez mon explication avant de
    m’incendier. Lors de la mort de la mère de Bambi, que se passe-t-il ?
    Son père vient illico le sauver des chasseurs. Pourquoi n’a-t-il jamais
    passé de temps avec son fils avant ? Pourquoi attend t-il précisément la
    mort de sa femme pour prendre contact avec lui ? Et surtout, que
    s’est-il passé durant les longues années « oubliées » dans le film ? La
    réponse est simple et immonde : la mère connaissait les penchants
    pervers de son mari. Sa vie était vouée à protéger Bambi des assauts de
    son géniteur. Dès sa mort, il ne rate pas cette occasion et le kidnappe.
    Cela explique surement son incapacité à s’exprimer en face de la biche
    qui lui faisait la cour, ceci est du à ses profondes blessures
    intérieures qui ne cicatriseront jamais.
    

En effet je suis d'accord qu'il y'a des messages caché mais la je trouve que ça dépasse les bornes

En fait DisneyParis,c'est tout simplement ce qu'on appelle ... de l'humour!

Je ne suis pas sur qu'il prenaient ça pour de l'humour, d'après ce que j'ai lu c'était une vrai analyse avec un vrai regard critique. Et moi je n'ai absolument pas trouvé ça drôle ...

Franchement,quelqu'un qui dit que Simba est un "ptit con",qui prétend que Quasimodo essaye de tuer des gens ou que Rox et Rouky sont gays,tu trouve que cette personne fait preuve d'une analyse critique?? C'est juste de l’exagération dans un but humoristique ne t'inquiète pas.

C'est vrai, mais j'ai lu tellement de truc sur internet que maintenant j'ai du mal à savoir si c'est vrai ou non ...

OMG!
Qui est le petit con qui a écrit ça?
Mais n'importe quoi! Quasimodo agressant les gens...Cette personne n'a rien compris au film. Y'a baston! C'est contre les gardes pour aider la population a gagner et pour empêcher que la cathédrale ne soit prise...
Des le premier paragraphe j'ai sursauté. Pas de sacrifice par amour? Et puis quoi encore? On voit clairement son attachement pour son père depuis le début. Il est l'un des seuls (avec le libraire) à la comprendre et toute la famille qui lui reste. Vu comme le reste de la ville la voit aussi, c'est pas étonnant, mais oser dire qu'elle a décidé de rester avec la bête pour se la taper et voyant l’occase aussi de se débarrasser de Maurice(c'est pas clairement dit, mais le sous entendu est clair)...HONTEUX!

Glywen, je suis d'accord avec toi ! Moi aussi quand j'ai lu ça j'ai vraiment trouvé ça Honteux ... Je ne peux pas comprendre comment on peu écrire des trucs comme ça !!

Franchement c'est une honte d'écrire un truc pareil
J'ai quasiment sursauté à chaque paragraphe tellement ce texte est un tissu de mensonges et d'absurdités.
Déjà le premier paragraphe je n'ai pas vu le film mais j'ai été choqué par cette violence avec laquelle l'auteur (si on peut vraiment appeler ça un auteur...) agresse les personnages et l'histoire.
Au paragraphes suivants j'ai commencé sérieusement à me poser des questions sur la santé mentale de l'auteur. Comme si Simba avait fait exprès de tuer son père pour monter sur le trône Scar doit être absent de sa version du film...
La critique suivante (ou plutôt le ramassis d'imbécilité suivant), sur Aladdin, je crois qu'il n'a rien compris au film. On voit justement bien que me Génie ne peut pas exaucer tous les vœux et que, d'ailleurs Aladdin n'avait pas besoin de devenir prince pour avouer son amour à Jasmine.
Ensuite le paragraphe suivant, il me semble qu'il n'a rien compris à la morale et à l'esprit de Disney, qui est de croire aux rêves.
Je n'ai pas pu supporté l'homosexualité de Rox et Rouky et la dictature de Napoléon envers Lafayette (c'est de l'humour, bon sang !).
Et puis l'alcoolisme dans Dumbo... C'était un accident, Dumbo n'a pas ingurgité de l'alcool par plaisir !
Ensuite la critique sur Quasimodo, soit il n'a pas vu le film, soit il n'a rien compris...
Enfin le paragraphe 9 est le seul qui reste à peu près potable, même s'il est encore une fois trop exagéré.
Quand j'ai vu le titre du paragraphe 10, j'ai cru qu'on allait nous ressortir pour une énième fois la pédophilie de Kaa (d'ailleurs c'est étonnant qu'il ne l'est pas fait), mais il s'agit d'un énième ramassis de mensonges et d'imbécilités sur Bambi, un film magnifique... Le Grand prince pédophile ? Et puis quoi encore ? Il ne manquerait plus qu'il nous sorte que les princesses Disney sont des prostituées...

Ce type n'a sûrement jamais vu la plupart des films en question, ou alors il n'a rien compris à la morale de Disney...

Il faut reconnaitre que le coté "zoophile" pour la belle et la bête est clair ! qu'on ne le nie pas ! même si il n'y a pas relation intime entre les deux protagonistes, vous croyez franchement les filles que vous pourriez aimer un homme transformée en bête ? allons !
Pourtant fan de Bambi j'avoue que j'ai bien rigolé tant l'explication est vraiment grossière
Après on peut transposer bien des scènes d'un film dans un "autre" contexte, ainsi le cas de Rox et Rouky peut paraitre bien tordu mais si on a l'esprit tordu à la base on interprete tout n'importe comment !
Ce que je trouve bizarre c'est que certains ici montent sur leurs grands chevaux quand il est si évident que ces critiques ne sont qu'une manière de provoquer les fans de Disney en associant des "travers" humains à ces histoires.
Soyez plus intelligent, ne foncez pas dedans tête baissée !

Il faut reconnaître que c'est exagéré !